25/11

Le matin, courses et pleins à Djanet.

La vieille ville haute, classée UNESCO,

est rénovée petit à petit

 Après midi, on circule dans le Tikoubaïne

26/11

Matin : suite du Tikoubaïne, on observe des grottes

parfois ornées de peintures.

Après midi : ballade dans le canyon d’Essendilène

28/ 11

Journée à Tamanrasset, soirée couscous et musique

locale sympa.

29/11

Montée au col de l’Assekrem; la piste est en voie

d’amélioration, mais comporte encore des endroits

non revêtus, nous sommes escortés par 2 voitures de police  .

Arrivés au col, on admire la vue à 180° au niveau de l’hermitage.

Le soir, coucher de soleil

30/11

Descente du col, toujours escortés; par une mauvaise piste,

on arrive autour du village de Tahifet

on va voir une guelta avec une eau abondante,

sur la route, un roc, reste de cheminée volcanique

Et bivouac au fond d’une gorge

   a noter que depuis Tamannrasset, nous sommes escortés

01 /12

On continue le retour par une piste en tôle ondulée

pénible; passage à un village : les villages isolés

sont pauvres, vivent de chèvres et de dromadaires,

et  sont un peu subventionnés pour inciter les jeunes

à rester .

Toujours des roches impressionnantes

02/12

C’est la remontée sur Alger à vitesse « grand V »,

Imposée par les 1900km à faire en 3 jours

le dernier article se trouve, par erreur, dans la rubrique accueil

suite

Dimanche 20 :

 Une petite carte pour préciser notre position :

Nous avons quitté Djanet pour le plateau du Ténéré,

au passage, le rocher de l’éléphant

Puis nous avons parcouru le plateau lui-même,

Belle vue sur le mont Tiska

L’après midi, parcours dans le parc de Tassili n’Adjer

Lundi 21 :

Région « Ali demma » le matin, nouvelles

peintures d’une époque où le sahara était verdoyant

peut être un exemple de ce qui attend nos pays

(Pour les yeux défaillants, j’ai repassé les contours )

L’après midi, la zone du « Tadrar », et un rocher

 en forme de dromadaire

Rouler dans le sable veut aussi dire parfois poussière

Mardi 22

 On a poursuivi l’exploration de la région,

un beau rocher avec 3  arches de « Tamesguida »

toujours des peintures rupestres, plus visibles cette fois

les passages de dénivelés en sable sont parfois rudes

et demande un « dépannage »

et pour finir, une « guelta » près de laquelle on a bivouaqué

On a eu une petite frayeur, étant partis se promener avant

Le coucher du soleil, on s’est perdu et on a été surpris

par la nuit. Polarstep nous a permis de retrouver notre

trace ; on recommande cette application qui fonctionne

bien hors connexion 

Lundi 23

Poursuite de l’exploration, dans certains endroits, le sol

regorge de petites plantes, certaines avec des toiles

d’araignée (dame blanche ?)

Toujours des rochers sculptés par le vent, qui rappellent

des formes connues ; ici un hérisson

 Et bivouac au pied des dunes

Mardi 24

On retourne sur Djanet, exploration d un canyon

Et bivouac avec coucher de soleil

.

Le blog ayanr été inaccessible pendant  14 jours,

le blog est passé du premier au dernier. Les textes des intermédiaires

sont passé sur facebook, mais pas les photos:

pour corriger, voici le deuxième:

La sortie d’Alger est encombrée, puis c’est une autoroute,

 ou route à 4 voies jusqu’à Gardahia, première étape

La 4 voie continue jusqu’à Hassi Messaoud. Ensuite

c’est une route à 2 voies, mais avec  le plus souvent

un bon goudron; Heureusement, car on doit parcourir

600km par jours, ce qui demande de tenir 100 à

110km/h, vitesse à laquelle nous ne sommes pas habitués

avec ce véhicule.

A Ouargla, un véhicule se retrouve avec la boite de transfert

cassée : arrêt imprévu : une boite d’occasion est trouvée dans

L’après midi et changée dans la nuit

Puis la route devient moins monotone et offre des beaux

point de vue.

On a quitté la route pour une piste, tantôt en sable

tantôt en cailloux. Paysages, point d’eau (source)

appelée Ghelta, parfois des dromadaires ou des ânes.

De place en places, des gravures rupestres

La piste (parfois rude pour nous) révèle des paysages superbes

Le 18, nous avons continué de parcourir l’erg el Admer

les paysages sont toujours splendides, mais la circulation

dans les dunes est plus ardues que ce que l’on attendait

Heureusement, les entre aides sont immédiates

Curieusement, on a récupéré le blog,

Quelques photos de ces journées en retard.

La nationale 1 (trans saharienne) est goudronnée, avec des dégradations

de temps en temps: avec le climat et les poids lourds, le bitume

est soumis à rude épreuve.

Le long de cette route de remontée, des montagnes, des dunes,

quelques nomades avec des chèvres ou faisant

la lessive dans une petite pièce d eau,

et des migrants, jeunes, venant d'Afrique, qui remontent le long de la route:

2000 km à pied pour espérer....??

Nous avons rejoint Marseille en passant par Millau, et son viaduc

Un autre bivouac à Ballaruc, un avant goût de méditerranée

Puis c’est le départ de Marseille

Après près de 24 heure de traversée par mer calme, on est arrivé

En vue d’Alger : nouveau bateau pilote .

Les formalités de douanes furent un peu longues (presque 5 heures)

On est à l’hôtel pour finaliser le technique (change, gazole etc)

Départ demain de bonne heure, prochain article à la prochaine connexion.