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Par lesblot le 26 Février 2019 à 18:16
26 Février
Nous sommes partis de Santa Cruz en traversant le quartier où
s’était posé un avion de trafiquants dans les années 50
Il est resté là et la ville en a fait un parc quand elle s’est agrandie
constellation ou B52?
et en prime, un alpaga du zoo
En sortie de ville, un jardin botanique
nous autorise le bivouac : au réveil, singe et tortue.
il paraît qu’il y a aussi des paresseux, mais on ne les a pas vu
plus inattendu: des bonzais
Les arbres du parcs semblent nourris au coca cola et aux soda,
comme beaucoup de bolivien(nes)
Quelques beaux cactus géants
Sur la route du Brésil, on s’est arrêtés à
San josé de Chiquito, ancienne mission jésuite qui a conservé une église.
Bivouac dans un petit camping près d’une rivière à 35°, (ça ne se
voit pas sur la photo)
Entrée au Brésil un samedi après midi: pleins de soldats en armes
aident à la circulation dans la douane; on dirait un pays en état de guerre :
le facho récemment élu aurait-il eu une crise d’urticaire ? En tout
cas l’ambiance est bon enfant.
Après une heure d’attente, le douanier nous dit qu’il ne peut pas contacter
de vétérinaire le samedi, mais qu’on aura pas de problème. C’est fou
comme ils sont tatillons quand ils peuvent et coulants quand ils ne peuvent
pas faire autrement.
une partie des documents pour le
chat: les autres sont agrafées
Le Mato Crosso du sud est décevant : champs de céréales et usines agro-
alimentaires. On n’a pas cherché à prendre la piste du sud Pantanal qui
est réputée impraticable en cette saison, et ailleurs, la seule vie sauvage
est représentée par les termitières.
Nous sommes arrivés à Foz de Iguazu, dans une auberge de jeunesse
déjà fréquentée en 2014. Nous passerons deux jours aux chutes
Après réflexion, on s'est décidé à aller jusqu'à Rio de Janeiro et sa région
On arrivera après le carnaval, qui termine le 9 mars, et n'est pas notre truc.
le trajet récent:
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Par lesblot le 20 Février 2019 à 21:08
20 février
Nous avons continué vers l’est,
C’est la saison des pluies, même les
moto taxis se sont équipées
Bivouac à Buena Vista, jolie petite ville
qui fait bien « amazonie »
Un parc recueille des animaux blessés pour
les réadapter.Nous n’avons vu qu’un singe en laisse, attendant
d’être prêt à être relâché.Mais la balade dans le parc est agréable,
avec une végétation tropicale.
Arrivée à Santa Cruz de la Sierra :
balade dans les rues
un beau centre ville
Une place avec pigeons
Des joueurs d’échec.
Et des cireurs de chaussures
Et encore le chat : pour ne pas prendre le risque d’être refoulés à
la frontière, loin de grandes villes, on a fait les papiers de sortie en règle :
14 h : arrivé chez le vétérinaire pour un certificat : 20 euros
14h 30 : entrée aux bureaux de la Senasag,
15h 15 : on nous dit d’aller payer 36 euros à la banque
(pour éviter la corruption, on ne paye pas directement)
15 h 30: arrivée à la banque, on prend un ticket
16h 15 : on a payé, retour à la Senasag
16h 35 : on donne le récépissé, tout est OK, on nous dit alors
que les documents seront près après demain dans l'après midi ! (mais
on n’aura pas à faire la queue pour les récupérer… ah bon!)
Et dire qu'il y en a qui vitupère contre l’administration française !!!
Aujourd’hui, nous avons visité le zoo : des oiseaux,
des félins,
léopard chat sauvage
et nous avons pu approcher un paresseux, autrefois dans un
parc du centre ville, et qui squattent maintenant le zoo.
Pour autant, il est difficile de les repérer quand ils sont dans les arbres
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Par lesblot le 19 Février 2019 à 16:46
19 février
La route qui va d’ Aréquipa à la frontière bolivienne se fait d’abord
sous la pluie ou les nuages bas.
une éclaircie permettra d’observer des fours à briques,
De petites fermes,
dont beaucoup sont équipées de toilettes identiques
on les voit en plusieurs exemplaires
Le passage de la douane a été l’objet d’un nouveau problème à
cause du chat : il n’avait pas été enregistré à l’entrée au Pérou,
donc on ne pouvait pas lui faire un document de sortie permettant de l’entrer
en Bolivie : (n’étant pas officiellement entré, il ne
pouvait pas sortir : vous suivez ?)
Heureusement, plus sympa qu’au Chili, les gens du
service sanitaire ont pu corriger l’affaire : juste 3 heures de démarches,
mais dans la bonne humeur
Balade dans Cochabamba : belle place centrale
De belles façades,
mais pas toutes....
Du street art
aussi des tags, preuves d’une intense vie nocturne, comme dit le « routard »
et de beaux bus ;
Par hasard, on a trouvé une exposition féline, avec un chat qu’on
avait encore jamais vu : le bengali.
La colline possède une statue, réplique de celle de Rio, (même
plus haute, paraît il); Mais il est fortement déconseillé de gravir seul la colline
suite à l’agression de touristes: apparemment, la protection divine
est insuffisante…
C’est seuls qu’on a décidé de continuer vers l’est et le Brésil....
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Par lesblot le 14 Février 2019 à 14:35
14 février, Aréquipa
C'est une belle ville, on a profité d'éclaircies en cette période pluvieuse:
Belle place centrale (plaza de Arma)
Flânerie dans les rues
Visite du marché
Quelques maisons avec de belles cours intérieures
On peut entrer dans certaines
Nous repartons à travers la Bolivie, direction Est vers le Brésil
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Par lesblot le 14 Février 2019 à 01:04
11 février : Le cañon de Colca
On a bivouaqué au belvédère "cruz del condors"
Ce cañon est considéré comme incontournable par les guides,
Bon soyons francs, c’est un beau cañon, mais surévalué au vue
des 20 euros par personne de droit d’entrée.
Certes, les belvédères montrent de beaux points de vue
Mais sa renommée vient surtout des condors qui y vivent .….euh en cette
saison, ils se font rares et les touristes arrivés par cars vers 8 heures, et
repartis vers 10 (heures des condors, d’après les guides) sont retournés
bredouilles ou presque (un entrevu )
Au lieu de condors, on a vu d’autres oiseaux, dont un colibri.
Les touristes étant repartis, les marchands de souvenirs aussi,
on a eu la chance d’en voir à 13h 30… même les condors ne respectent
pas leurs horaires !!!
Sur la route du retour, on a admiré les terrasses
Dans les villages, des costumes, et chapeaux brodés (fabriqués à Aréquipa)
On n’a pas eu la route du retour pour nous tous seuls ;
Le retour sur Aréquipa se fait par le col de Patapampa, 4880 m, et vue
sur les volcans culminants à plus de 6000 m, ciel nuageux, malheureusement.
trajet des derniers jours
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