5 janvier

On a quitté cafayate par sa belle Quebrada,

dans la nuit, un fort orage a coupé la route

en plusieurs endroits, les bulls on eu du

travail

Passage à Purmamarca, nouvelle balade au sentier

des 7 couleurs

Des brumes d’altitude offrent de

curieux arcs-en-ciel

Puis nous sommes montés au mirador

de Hornocal : des roches aux couleurs

exceptionnelles (14 paraît il)

retour par une route d’altitude,

   avec  vendeuse en costume (pour  la photo)

et cactus fleuris 

visite du village de Humahuaca, plus authentique que Purmamarca

Puis in a rejoint San Antonio de las cobres, par une piste pénible: tôle, cailloux

etc...

On doit ensuite rayonner autour de Tolar Grande, où on nous promet des 

splendeurs: il y a intéret car il faudrait mériter les 2OOkm de pistes qui nous arttendent.

2 janvier

Au bivouac, on observe un renard roux

Après hésitation sur l’état de la piste (tôle)

On est monté seuls sur le plateau de Penon

Au dessus de 3000m, c’est le territoire des vigognes,

(sorte d’antilope locale)

Curieuses, mais craintives,

Elles semblent toutes baguées, leur poil est recueilli pour

faire une laine (très chère)

On frise les 4000m, mais on ne fait pas de cross

Roches et lointains colorés,

Plusieurs lagunes,

                     herbe dont se nourrissent les vigognes

              Les maisons traditionnelles sont en adobe

(briques de terre)

  le lien pour trajet:

trajet des derniers jours

28 décembre, passage Argentine

le 26 nous avons quitté la côte pour l’arrière pays

On change de climat,

D’Illapel à combarlala on découvre des cactus.

Passage à la réserve des Chinchilas pour apprendre qu’il faudrait payer 8 euros

pour parcourir un chemin où on ne les voit pas car il ne sortent que la nuit ! on laisse.

bivouac au parking d’un observatoire

27 De Combarbala à Vicunha : route et piste pénible,

mais de beaux paysages ;

28 Passage du col « agua negra » à 4700 m : le véhicule fume 

 et la tête tourne, mais on est récompensé par la vue.

au bord de la piste, des formations de neige appelés « pénitents » car ils

rappèlent des moines « ou des pêre noel »

Petit souci à la douane : notre passeport n’avait pas été tamponné à l’entrée ; assez vite résolu.

toujours le tracé récent: (cliquer sur le lien)

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On attaque le NE de l’Argentine 

En suivant la côte pacifique, le littoral a parfois des aspects de côte sauvage

on rencontre des ports de pêche, où, en l’absence de vrai port, les bateaux

sont tirés sur le sable,par des chevaux, ou maintenant des tracteurs

          on y prélève aussi des algues, mangeables en salade (un peu dures)

 On croise  aussi des voitures à cheval, mais pour touristes*

Bivouac dans un lotissement « des poètes » où un parc est dédié à

Pablo Neruda, parsemé de sculptures contemporaines, un

« petit  Kergueheneuc » local

On est arrivé le 24 au camping de Valparaiso.

Visite le 25 : tous les ascenseurs (en fait des funiculaires) sont

fermés, restent les escaliers, certains sont décorés, mais il faut quand même

les monter

Quelques belles maisons,

et beaucoup de fresques murales, une obligation qui fait la réputation de la

villes certaines avec humour

Et des rues en pentes, mais colorées

On trouve même des pochoirs sur les trottoirs

.

21 décembre :

On est monté au cratère « Navidade »  la route est fermée : écroulement

de lave

On redescend

Promenade dans le parc « Nahuelbuta », à travers une forêt d’araucarias

et où l’on atteint un point de vue sur la chaîne de volcans

et même du  pacifique au loin.

pas vu de puma, mais une belle bêbête (tarentule ?)

On a repris la route, croisé une « deux bœufs »

et buté sur le pacifique

endroit prisé des surfeurs grâce aux déferlantes

bivouac dans un petit port de pêche « Curanipe »

(

(également zone de surf)

toujours le lien pour nous situer:

cliquer ici