Le 9 février

Pour rejoindre le Machu Pichu, nous sommes passés par les salines de Maras :

un océan évaporé a donné naissance à un gisement de sel, une source chaude

et salée alimente des bassins ou l’eau s’évapore ;

Arrivée à Ollantaytambo pour attendre la visite du lendemain.

                ruines et costumes

                    une ruelle typique, datant des incas

Coup de gueule contre le « business Machupichu » !!!

Pour visiter le Machiupichu, il faut 3  billets : le billet d’entrée, le billet

de train pour Machupichu-pueblo, le billet de bus pour monter.

les 3 s’achètent dans 3 endroits différents.

On se présente pour acheter les billets du site : refus : depuis la limite à

500 entrées par heure, il faut avoir le billet de train avant d’acheter celui

du site.

La société de train veut bien nous vendre tous les billets, mais 10 dollars

plus cher  (ben tiens !)

Muni des billets de train qui part à 6h40, on retourne acheter le billet d’entrée :

On nous refuse 9h, car le train « arriverait trop tard »  (sic)

Bernique… le train arrive à 8h :  une heure d’attente pour rien avant d’être

accepté dans le bus qui arrive à 9h 50.

On nous refuse l’entrée et nous demande de redescendre l’escalier pour

attendre 10 minutes : On se fâche et on fait un « bloquéo » de l’entrée

devant le guichet : personne ne prendra cette file jusqu’à 10h !!!

Au prix où l’entrée revient, ils pourraient au moins être sympas.

Voilà, c’est dit… maintenant les photos (vues très connues bien sûr, mais

toujours impressionnantes)

 vues d’en haut :

vues avec des fleurs

vues avec nous

vues avec des touristes

La tondeuse locale :

Des lamas vivent sur le site, et tondent l'herbe

quand ils ne posent pas pour les touristes

 retour à Machupichu-pueblo  (ex aguacalientes)

. En conclusion Une visite exceptionnelle, Le temps, quoique nuageux,

a bien voulu attendre la fin de notre visite pour amener la pluie...

Reste que si le site ressemblait moins à une tire-lire, il ne perdrait rien!!!

6 février

remarque: en cliquant sur chaque photo, on l'agrandit

On s’est installé au camping de Cusco

La descente du camping nous offre une vue sur la ville

Promenade à travers Cusco qui est une ville exceptionnelle

Belles places,

Rues sympathiques

Quelques murs, restés des incas, présentent des pierres

montées sans joints

Quelques personnes en costumes, présentes pour la photo

On a marché dans le jeu de la photo payante ; il faut bien

que chacun vive

Nous avons fait un tour au marché.

Une curieuse pub pour « body-bulding » qui serait certainement

interdite en France

Une boutique de dégustation de café a utilisé la même

machine à coudre que nous, pour en faire aussi une table

Près du camping se trouve une belle forteresse pré-hispanique

On a vu que l’extérieur (le plus beau d’ailleurs), car ici, il est

impossible de visiter un seul site : il faut acheter le « boleto »

qui impose plusieurs sites, dont certains inintéressants, pour

un prix excessif : on boycotte, les extérieurs suffisent à notre curiosité

Nous avons réservé notre billet et transfert au Machu-Pichu :

résultat : 400 euros à deux, le Machupichu  est le mont St Michel

du Pérou…

notre trajet récent:

trajet

3 février

Passage de la frontière et on se dirige vers Puno

La route découvre des aspects de la campagne péruvienne.

                               Le long de la route

Même temps : pluie tous les matins

4 heures d’éclaircie l’après midi, re-pluie après 17h. Nous

ne sommes pas dans la meilleure saison pour visiter l’est

bolivien et le Pérou

Arrivée à Puno, première ville du Pérou après la frontière. C’est la semaine

de la fête de la chandeleur (virgen de la candelaria) :

feux d’artifices, musique, promenade de statues.

le centre ville est un grand marché

                             Des potirons originaux

La ville vaut surtout par l’accès aux îles « Uros », îles flottantes

fabriquées par le peuple « Uros » et ses successeurs.

                Chaque île abrite deux ou trois familles

Ils ont vécus à l’abris des peuples belliqueux  pendant des siècles,

vivant de la pêche, de la récolte des œufs d’oiseaux, et

de la consommation des pousses de roseaux.

Aujourd’ hui, ils vivent principalement du tourisme.

La visite des îles est une affaire bien rodée

les bateaux typiques prennent le relais des vedettes

On nous accueille en costume,

Présentation et explication des constructions,

et on repart après avoir acheté quelques babioles inutiles, et l’ensemble

 est sympathique.

 La sortie de Puno est épique, toujours à cause de la fête

On rejoint Cusco par la « vallée sacrée »

On s'installe au camping pour préparer la visite au Machupichu

le trajet récent sur la carte:

c est ici

Sortie épique de La Paz,

La région a reçu beaucoup d’eau, même la

police a du mal à émerger…

Passage du « bac » (une barge)

Puis une succession de vues sur le lac

Titicaca

On s’installe à Copacobana (près du lac Titicaca

en Bolivie, pas au Brésil !)

Mais c'est la saison des pluies, et tous les matins se passent 

sous la pluie; Titicaca ou pas, un lac sous l'averse, c'est pas gai...

Quelques constructions bizarres

La cathédrale a une belle toiture

devant, on béni des voitures décorées !!!

bof… mais après tout on a bien béni des chars et

des navires de guerre en Europe, sans les décorer !

On préfère exposer le chat

Visite au marché, où l’on vend des pop-corns

boliviens, énormes

Demain nous passons au Pérou, d'abord sur l'autre rive du lac,

le temps est prévu pourri jusqu'à dimanche, on verra...

.

28 janvier

Nous avons pris la nouvelle route qui rejoint directement Sucre à La Paz.

Elle passe par de beaux paysages,

mais a déjà été coupée à plusieurs endroits par la montagne qui s ‘écroule

Nous avons passé deux jours à La Paz

Visite du musée ethnographique,

                       La cour du musée

Promenade rue « Jaen ».

 C'est une rue très touristique, aux façades rénovées

Des musiciens et danseurs faisaient une démonstration.

Visite à l’intéressant musée des instruments de musique : un passionné

 a groupé là toutes sortes d’instruments locaux, et quelques phonographes

Déjeuner d’une truite frite dans un petit resto

Promenade au «marché des sorcières ».

des petits métiers:

                  le cireur de chaussures

Des annonces vantent des élixirs à base de fœtus de lama,

 sensés amener le bonheur dans les affaires, les amours, la santé ;

nous ne dirons pas ce qu’on en pense !!!…

Retour par un bus local  (kilomètres au compteur ???)

Deuxième jour ; montée a « El Alto »  (altitude: 4095 m ) par le  téléphérique :

 plusieurs lignes permettent d’atteindre différents quartiers.

Vue aérienne impressionnante.

Une manif bloquait la circulation, et les éboueurs sont en grève

Départ demain pour le lac "Titicaca"